Le « Pervers » charmant, le bug du conte de fée

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Sortir de l’emprise…

Le pervers charmant – le bug du conte de fée

Depuis notre enfance, on nous raconte que l’amour ressemble à un conte. Il y a toujours une rencontre magique, un sauveur ou une sauveuse providentiel·le, et un « ils vécurent heureux jusqu’à la fin de leurs jours ».
Cette trame est si profondément ancrée dans notre imaginaire qu’elle influence nos choix amoureux… parfois pour le meilleur, mais souvent pour le pire.

Car il existe un bug dans ce scénario : le « prince » ou la « princesse » qui se révèle être… un pervers charmant.

Quand le charme masque le piège

Le pervers charmant (homme ou femme) sait incarner à la perfection l’idéal romantique que vous avez en tête.
Il ou elle écoute, comprend, valorise, séduit avec justesse. On se sent « vu·e », unique, presque sauvé·e.
Mais ce charme est une façade. Derrière se cache une mécanique subtile : prise de contrôle, dépendance affective, isolement progressif, perte de repères.
Le conte devient un huis clos émotionnel où vous êtes prisonnier·ère d’une image idéale que vous ne retrouvez plus, mais que vous espérez encore.

Pourquoi on y croit… même quand ça fait mal

Ce bug ne naît pas de nulle part. Il s’ancre dans des histoires familiales et transgénérationnelles où l’amour est souvent conditionnel, mêlé à des blessures profondes : rejet, abandon, trahison, humiliation, injustice.
Ces blessures influencent inconsciemment notre façon de choisir nos partenaires et de réagir dans la relation.

C’est exactement ce que nous explorons dans mes ateliers sur les 5 blessures : comprendre la blessure qui se cache derrière nos choix amoureux pour enfin reprendre le pouvoir.

Le scénario invisible : l’héritage qui nous piège

Avec la méthode HERIT®, on observe que ce type de relation reproduit souvent un scénario familial :

Une ancêtre restée prisonnière d’un mariage toxique par loyauté ou par dépendance économique.

Un ancêtre ayant idéalisé un amour perdu au point de sacrifier sa liberté.

Des croyances transmises : « mieux vaut un compagnon imparfait que pas de compagnon du tout », « les vrais amours font souffrir », « il faut se battre pour l’autre ».

Ces programmes hérités se rejouent inconsciemment… jusqu’à ce qu’on les identifie et qu’on les transforme.

Sortir du bug et réécrire l’histoire

La sortie ne passe pas uniquement par la rupture. Il s’agit d’un travail de lucidité et de réparation :

Identifier le masque : reconnaître les signes du charme toxique (incohérences entre paroles et actes, promesses floues, culpabilisation subtile…).

Nommer la blessure activée : savoir quelle partie de nous (et de notre histoire familiale) est ciblée.

Restaurer son espace intérieur : retrouver son autonomie émotionnelle, se recentrer, poser des limites claires.

Reprogrammer : à travers le travail transgénérationnel, rompre avec le scénario hérité et installer un nouveau modèle de relation.

Si tu veux découvrir comment faire ce travail en profondeur, je t’invite à rejoindre mon atelier intensif « Guérir les 5 blessures de l’âme », où nous explorons aussi l’impact de ces blessures dans les relations amoureuses.

Voir aussi mon livre « Le Pervers Charmant ».

Du « ils vécurent heureux » à « je me choisis »

Le véritable conte de fée ne se joue pas dans la rencontre avec l’autre, mais dans la rencontre avec soi.
Quand on se choisit, on attire des relations alignées sur notre respect, notre liberté et notre authenticité.
Et alors, le « pervers charmant » n’a plus aucune prise sur nous : le bug est réparé

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